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Nous t’invitons à une sortie et vraiment, tu n’as pas envie d’y aller mais tu ne sais pas dire « non ». 

En réalité, ton ego intervient très vite et tu te mets à la place de cette personne…

Nous allons voir ici 3 choses BLOQUANTES que tu fais et qui t’empêchent de dire « non ».

J'ai peur de faire la peine !

La 1ere chose bloquante que tu fais, c’est de penser que tu vas faire de la peine à la personne que tu as en face de toi.

En fait, quand on pense que l’on va faire de la peine à quelqu’un, c’est penser que l’autre n’est pas en capacité de gérer cette émotion. Si nous pensons cela, c’est bien souvent car nous ne sommes pas en mesure, nous-même de gérer cette émotion. Je t’invite donc, dans un 1er temps, à vérifier si tu es capable d’avoir cette émotion.

Acceptes-tu d’avoir des émotions dites « négatives » ?

Il faut savoir qu’une émotion, peu importe l’emotion, nous rend vivant. Nous vivons des émotions à longueur de journée puisque nous sommes des êtres émotionnels. Il est donc tout à fait normal et naturel de ressentir parfois de la frustration, la peine, la déception…

Lorsque nous n’acceptons pas une émotion, elle est tenace et revient plus fortement. Plus tu acceptes ton émotion et plus tu pourras accepter les émotions chez les autres. Il est courant, dans les blessures de l’âme, de ne pas accepter ses émotions. Nous ne les acceptons pas chez les autres, ce qui signifie que nous ne les acceptons pas en nous.

Acquérir une maturité émotionnelle, c’est accepter n’importe quelle émotion en soi pour ensuite accepter les émotions chez les autres.

Il est bon de permettre aux autres personnes de grandir, d’accepter leurs émotions et de devenir bien plus puissant. Permet toi cette transformation et permet là aux autres afin qu’ils puissent aussi changer et évoluer personnellement dans leur vie.

Que va-t-elle penser de moi ?

Le 2eme choses bloquantes que tu fais et qui fait que tu n’arrives pas à dire non, c’est de penser à la place de l’autre. En fait, ici, tu transpose. C’est comme si, tu sortais de ton coprs, pour te placer dans celui de l’autre et que, d’un point de vue extérieure, tu commence à penser des choses sur toi. A sa place, je penserais ça…

A sa place, je penserais ça de moi !

En fait, on ne peut pas penser à la place de l’autre. Même si nous connaissons bien la personne en face, nous ne pouvons pas définir à quoi elle va penser réellement et parfois, nous avons bien été surpris par sa façon de penser et d’agir… Tout simplement parce que nous sommes des êtres uniques  doté d’une capacité de réflexion propre.

En pensant à la place de l’autre, en réalité, cela nous montre ce que nous pensons de nous-même. Je penserais ça de moi. 

je t’invite alors à te demander ce que tu penses de toi dors et déjà. Est-ce que tu t’estimes suffisament ? te donnes-tu assez d’amour ? Penses-tu être assez importante pour dire non ? Penses-tu être assez puissante ? Que te manque-t-il pour être la femme puissante qui sait dire non ?

Demande toi aussi pourquoi ce que tu penses de toi est faux ? Trouve des arguments contraires à ce que tu pensais de toi.

Dire « non » ne veut rien dire de toi et sur toi. Dire « non » signifie juste que tu t’écoute et que tu préfères trouver un autre moment à accorder à l’autre, un moment où tu te sentiras bien, en accord avec toi-même et du coup qui te permettras de mieux te connecter à l’autre.

Je me sens petite

La dernière chose que tu fais et qui te bloque est le fait de te sentir petite.

En fait, il y a des personnes qui sont INCAPABLE de dire « non » car elle se sente petite. C’est la blessure d’humiliation. C’est comme si, elle retombait en enfance et qu’elle n’assumait pas pleinement leurs capacités d’adulte.

Elles voient les autres comme des personnes fortes, influentes, à qui on ne peut dire « non », sinon… sinon… sinon quoi ? Le sais-tu au moins ?

Il est bon de savoir où veut nous emmener l’ego. On ne va, parfois, pas au bout du cheminement. Si je dis « non » à cette personne influente, fort et puissante, que va-t-il se passer ?

Si cela t’arrive, je t’invite à te poser ces questions.

As-tu envie de rester dans cette position ? Quelle femme aimerais-tu être ? As-tu déjà dit « non » dans ta vie ? si oui à qui ? As-tu été fière de toi ? A quel moment, tu as réagi en tant que femme puissante et adulte ?

Retrouver sa puissance

Finalement, dire « non », c’est retrouver sa puissance. Retrouver sa puissance de direction, de choix, d’opportunité. C’est être une femme pleinement épanouie et qui s’assume !

Pour retrouver cette puissance, il est bon d’avoir envie de devenir puissante. Si tu étais cette femme puissante, qui serais-tu? Que ferais-tu ? Qu’aimerais-tu ?

C’est aussi, être en gratitude pour toutes les choses que tu as déjà accompli dans ta vie. Je te rapelle que la blessure d’humiliation te montre que tu as un manque d’amour de toi. Alors remplis ta jauge en t’aimant, en prenant soin de ton corps et de ton âme, en t’autorisant à grandir et en étant fière de la femme qui décide de changer.

Etre fière de soi commence à chaque instant. Au début, c’est un exercice compliqué et plus tu vas le faire et plus tu vas changer.

Cela répond à l’envie, qu’ai-je envie de faire ? Ai-je envie de rester dans les positions précédentes ou ai-je envie de dire « non » et d’évoluer dans ma vie. Qu’est-ce que je ressentirai lorsque je dirais non ?

Lorsque tu vas dire « non », en t’écoutant, en étant alignée avec toi-même, je t’invite à te féliciter et à être fière de toi. La fierté va engager en toi de nouveaux chemins neuronaux positifs qui vont t’aider à faire les choses beaucoup plus facilement et de manière fluide.

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